L’Impact en chiffres

Cette section met en lumière des données clés sur les réalités vécues par les jeunes dans différents domaines. L’objectif est de mieux comprendre les enjeux pour mieux y répondre.

Éducation et compétences

1 jeune sur 5

est analphabète (UNESCO)

30 %

n’achèvent pas le cycle secondaire (UNICEF)

7 %

accèdent à l’enseignement supérieur (Banque mondiale)

11 millions

d’enfants déscolarisés à cause du climat (UNICEF)

60 %

des jeunes filles quittent l’école avant 18 ans (Plan Intl.)

1 sur 4

n’a jamais suivi de cours numérique (ITU)

40 %

des enseignants manquent de formation (UNESCO)

15 %

des écoles ont un accès stable à Internet (Banque mondiale)

75 %

des élèves partagent un manuel scolaire (UNESCO)



En Afrique subsaharienne, les progrès dans l’éducation sont visibles, mais demeurent fragiles. L’accès au numérique reste inégal, les inégalités filles/garçons persistent, et le changement climatique amplifie les risques de déscolarisation.

Investir dans une éducation équitable, numérique et résiliente est plus qu’une priorité : c’est un levier de transformation sociale.
L’école ne devrait jamais être un luxe.
Investir dans les fournitures et les infrastructures est essentiel pour créer un environnement d’apprentissage digne.
L’éducation numérique commence par l’accès.
Fournir une connexion internet aux écoles rurales est un droit, pas un privilège.
Les filles doivent rester à l’école.
Lutter contre les mariages précoces et les barrières culturelles, c’est protéger leur avenir.
Former les enseignants, c’est préparer l’avenir.
La qualité éducative dépend de celles et ceux qui transmettent les savoirs.

Emploi et insertion professionnelle

60 %

des jeunes Africains travaillent dans l’informel (OIT)

1 sur 3

des jeunes diplômés est au chômage dans certaines zones urbaines (BAD)

70 %

des emplois créés concernent le secteur informel (ILO 2023)

50 millions

de jeunes entreront sur le marché du travail d’ici 2030 (UNDP)

Moins de 20 %

ont accès à des services d’orientation professionnelle (UNESCO)

2/3

des jeunes femmes ne sont ni en emploi, ni en études, ni en formation (UN Women)

18 %

des jeunes considèrent l’émigration comme la seule solution (Afrobarometer)

85 %

des jeunes souhaitent entreprendre mais manquent d’accès au crédit (YouthSurvey Africa)







L’insertion professionnelle des jeunes demeure un défi majeur. Entre le poids de l’informel, l’inadéquation formation-emploi et l’exclusion des jeunes femmes, les politiques publiques peinent à créer un environnement favorable.

Il est urgent de valoriser la formation professionnelle, de faciliter l’accès au crédit pour les jeunes entrepreneurs et de repenser les politiques de l’emploi avec les jeunes comme co-acteurs.
Il faut accompagner l’informel.
Au lieu de le combattre, structurons-le pour qu’il devienne une rampe d’accès à la dignité économique.
Former pour créer, pas pour attendre.
L’éducation doit développer l’esprit d’initiative et la polyvalence.
Inclure les jeunes dans les politiques de l’emploi.
L’insertion professionnelle doit être co-construite avec les premiers concernés.
Investir dans l’entrepreneuriat jeune.
L’accès au financement et aux incubateurs est une clé de l’autonomie.

Climat et environnement

200 millions

de jeunes seront exposés à des événements climatiques extrêmes d’ici 2050 (UNICEF)

70 %

des jeunes Africains se disent préoccupés par le changement climatique (Afrobarometer)

15 pays

subissent des sécheresses récurrentes impactant les écoles et les moyens de subsistance (FAO)

1 jeune sur 3

vit dans une zone sans accès à une eau potable stable (UNEP)



Les jeunes sont à la fois les plus exposés et les moins armés face aux effets du dérèglement climatique. Entre déplacements forcés, déscolarisation, et destruction des moyens de subsistance, le climat devient un facteur d’inégalité générationnelle.

Donner aux jeunes les moyens d’agir localement, les former à l’écocitoyenneté, et intégrer leur voix dans les politiques climatiques est une urgence stratégique.
Le climat, c’est aussi une question de justice.
Les jeunes du Sud contribuent peu aux émissions mais subissent l’essentiel des conséquences.
Éduquer au climat, dès l’école primaire.
L’urgence écologique impose une refonte des programmes scolaires.
Les jeunes agriculteurs doivent être soutenus.
L’adaptation locale passe par l’innovation et l’accès aux ressources.
Les jeunes veulent participer aux COP.
L’inclusion de leurs voix doit être systématique dans les conférences mondiales.

Citoyenneté et engagement civique

18 %

des jeunes déclarent avoir confiance dans les institutions publiques (Afrobarometer)

40 %

des jeunes ne sont pas inscrits sur les listes électorales (IDEA)

12

pays africains ont un parlement avec moins de 5 % de députés de moins de 30 ans (PNUD)

64 %

des jeunes veulent plus de participation aux décisions locales (World Bank Youth Survey)

1 sur 3

jeunes interrogés pense que leur voix ne compte pas (CIVICUS)

+60 %

des jeunes participent à des actions informelles (pétitions, réseaux sociaux, etc.)

45 %

des jeunes engagés dans des ONG n’ont pas de soutien institutionnel (ONU Jeunesse)

8

pays africains ont une politique nationale jeunesse adoptée depuis 2020 (UNESCO)







La participation civique des jeunes africains connaît une évolution hybride : faible représentativité formelle, mais forte implication informelle. L’accès aux instances décisionnelles reste limité, souvent faute de cadre adapté ou de mécanismes d’inclusion efficaces. Encourager l’engagement des jeunes, c’est investir dans une démocratie plus représentative et dynamique.
Investir dans la transparence : l’accès à l’information publique favorise la confiance des jeunes citoyens.
Créer des espaces jeunes : conseils municipaux jeunesse, assemblées participatives, débats citoyens.
Soutenir les médias jeunes : radios communautaires, plateformes numériques locales.
Simplifier l’accès à la citoyenneté : faciliter l’enregistrement civil et les cartes d’identité.

Entrepreneuriat des jeunes

60 %

des jeunes actifs africains travaillent dans l’informel (OIT)

3 sur 4

entrepreneurs en Afrique ont moins de 35 ans (AfDB)

90 %

des jeunes entreprises échouent avant 5 ans (Banque Mondiale)

11 %

des jeunes femmes ont accès à un financement (UNCDF)

75 %

des jeunes ruraux veulent lancer une activité (IFAD)

30 %

n’ont pas accès à Internet pour développer leur idée (ITU)

1 sur 2

jeunes entrepreneurs déclare ne pas connaître les dispositifs publics d’aide (UNDP)

80 %

souhaitent des mentors ou incubateurs (Youth Business International)




L’idée seule ne suffit pas. Il faut savoir la structurer et la défendre.
Commence petit. Le micro-crédit peut faire émerger des solutions locales puissantes.
Entoure-toi. Les incubateurs, hubs ou associations peuvent transformer ton parcours.
Forme-toi. Des MOOCs gratuits existent en gestion, marketing, numérique…
Le numérique est un levier. Mais il reste sous-exploité dans les zones rurales.
Échecs ≠ fin. C’est souvent là que commence le vrai apprentissage.
L’entrepreneuriat jeune en Afrique subsaharienne est un puissant moteur de transformation économique. Pourtant, les obstacles restent nombreux : accès limité aux financements, manque de mentors, faibles connexions numériques, pressions sociales.

Pour stimuler l’impact, il faut un écosystème de soutien cohérent, accessible et inclusif — allant de la formation à l’accompagnement, en passant par la valorisation des idées des jeunes eux-mêmes.
Faciliter l’accès aux financements
pour les jeunes ruraux et primo-entrepreneurs.
Créer des parcours entrepreneuriaux scolaires
dès le secondaire ou en formation professionnelle.
Renforcer les programmes de mentorat
pour accompagner durablement les jeunes entreprises.
Mettre en valeur l’impact local
des initiatives jeunes pour mobiliser les décideurs.

Climat & Environnement

1 jeune sur 3

en Afrique dit craindre pour son avenir à cause du changement climatique (UNICEF, 2022)

25 %

des jeunes sont directement affectés par des sécheresses ou inondations (IFRC, 2023)

Moins de 5 %

des projets climats financés ciblent les jeunes (UNEP, 2021)

80 %

des jeunes souhaitent agir pour le climat, mais se sentent peu écoutés (UNDP 2022)

60 %

ne connaissent pas les mécanismes d’engagement citoyen climat (Youth4Climate, 2023)

+45 %

d’évènements climatiques extrêmes depuis 1990 en Afrique (WMO)

12 millions

de jeunes déplacés à cause de catastrophes naturelles (IDMC, 2023)

10 %

des jeunes interrogés sont engagés dans un projet climat (FAO Youth Report)

20 pays

incluent des jeunes dans leur délégation COP (COP27 Youth Engagement Tracker)

90 %

des jeunes africains considèrent l’environnement comme leur priorité n°1 (Afrobarometer)

Accord de Paris : seul accord universel sur le climat. Les jeunes demandent plus d’ambition.
COPs Jeunesse : forums parallèles des jeunes pendant les COP officielles.
Youth4Climate : plateforme ONU-PNUD d’initiatives climatiques portées par les jeunes.
Agenda 2030 : les jeunes sont essentiels pour atteindre les ODD environnementaux.
Loss and Damage : la jeunesse appelle à un fonds juste pour les pays vulnérables.
Global Youth Statement : déclaration annuelle des priorités jeunesse pour le climat.
Inclure systématiquement les jeunes dans les comités climats nationaux.
Renforcer l’éducation climatique dès le primaire.
Financer des micro-projets écologiques portés par les jeunes.
Rendre les données climatiques accessibles aux jeunes chercheur·euse·s.
Soutenir les plateformes numériques pour l’action climat jeunesse.
Valoriser les solutions locales dans les médias nationaux.
Créer des coalitions régionales de jeunes climat leaders.
Intégrer le plaidoyer jeunesse dans les négociations officielles.

Santé et bien-être

1 sur 2

des jeunes n’ont pas accès à un centre de santé de proximité (OMS)

35 %

des décès chez les jeunes sont liés à des maladies évitables (UNICEF)

+10 millions

d’adolescentes privées de soins prénataux (UNFPA)

1 sur 3

jeunes déclare avoir des troubles de santé mentale non pris en charge (OMS)

20 %

des jeunes femmes n’ont jamais consulté de médecin (GAVI)

70 %

des maladies chroniques apparaissent avant 30 ans (CDC)

40 %

des jeunes vivent sans couverture sanitaire (Banque mondiale)

2 sur 5

jeunes ignorent leur statut VIH (ONUSIDA)

45 %

des jeunes ruraux manquent de services de santé sexuelle (UNFPA)

60 %

des centres de santé ne disposent pas de personnel formé à l’écoute des jeunes (OMS)



OMS – Youth Friendly Health Services
Services adaptés aux besoins spécifiques des jeunes.
UNFPA – Adolescent Sexual & Reproductive Health
Programmes sur les droits en santé sexuelle et reproductive.
ONUSIDA – Fast-Track Youth
Initiatives pour le dépistage et la prévention VIH chez les jeunes.
GAVI – Youth Immunization Access
Faciliter l’accès aux vaccins pour les adolescents.
UNICEF – Santé mentale jeunesse
Campagnes et ressources de soutien psychologique.
WHO – Digital Health for Youth
Solutions numériques pour l’information sanitaire des jeunes.
FP2020 Youth Initiative
Engagements pour le planning familial des jeunes.
World Bank – UHC for Adolescents
Accès universel à la santé pour les jeunes marginalisés.
Fonds Mondial
Lutte contre le VIH, la tuberculose et le paludisme chez les jeunes.
GAVI
Partenaire stratégique pour la vaccination inclusive des jeunes.
CEPI
Préparation vaccinale en cas de pandémies touchant les jeunes.
UNICEF – COVAX Youth
Inclusion des jeunes dans les programmes de vaccination COVAX.
Lutter contre les tabous sur la santé mentale des jeunes.
Promouvoir l’éducation à la santé dès le secondaire.
Renforcer l’accès à la santé des jeunes dans les zones rurales.
Intégrer les jeunes dans la gouvernance sanitaire.
Investir dans les centres de santé jeunesse dédiés.
Développer des applications santé jeunes gratuites.
Garantir la confidentialité des services de santé sexuelle.
Impliquer les jeunes dans les campagnes de prévention.

Numérique et accès digital

1 jeune sur 3

n’a pas accès à internet à domicile (ITU)

12 %

des écoles africaines disposent d’un accès internet fonctionnel (UNESCO)

55 %

des jeunes utilisent le téléphone comme principal outil d’apprentissage (UNICEF)

70 %

des emplois futurs nécessiteront des compétences numériques (WEF)

40 %

des jeunes filles n’ont jamais utilisé d’ordinateur (GSMA 2023)

25 %

des enseignants seulement formés au numérique (World Bank)

60 %

des élèves africains apprennent sans ressources numériques (UNESCO)

45 %

des jeunes urbains utilisent les réseaux sociaux pour s’informer (Afrobaromètre)

20 %

des jeunes femmes savent coder dans les zones pilotes (UNICEF Innovation)

+3000

programmes d’e-learning lancés en Afrique entre 2020 et 2023 (AUDA-NEPAD)



1. Initiative Smart Africa : connectivité inclusive pour les jeunes ruraux
2. UNESCO : Plan global pour l’éducation numérique 2023–2030
3. Digital Africa : soutien aux startups tech portées par des jeunes
4. ITU Digital Inclusion : programmes pour les jeunes femmes
5. UNICEF U-Report : plateforme numérique d’expression des jeunes
6. Africa Code Week : 1M+ jeunes formés à la programmation
7. Google for Africa : bourses et certifications en compétences digitales
8. Initiative GIGA : connexion des écoles rurales par l’UNICEF et l’UIT
L’accès numérique reste un droit et un levier d’émancipation des jeunes.
Renforcer les compétences numériques dès l’école primaire permet de réduire les inégalités futures.
La connectivité ne suffit pas : il faut aussi des contenus éducatifs adaptés.
L’inclusion numérique est une condition pour la participation citoyenne.
L’économie numérique représente une opportunité de génération d’emploi pour les jeunes innovants.
La fracture numérique aggrave les inégalités existantes, notamment en contexte rural.
Les partenariats public–privé peuvent accélérer la transformation numérique inclusive.
L’Afrique peut devenir un continent numérique leader si les jeunes y sont préparés dès aujourd’hui.

Migrations et mobilité des jeunes

72 %

des migrants africains ont moins de 30 ans (OIM)

1 sur 3

jeunes migrants a un niveau d’études supérieur à la moyenne (UNESCO)

40 %

des jeunes déplacés sont des filles (UNHCR)

+11 millions

de jeunes réfugiés et déplacés internes en Afrique (Banque mondiale)

80 %

des migrations africaines se font à l’intérieur du continent (OIM)

1 sur 5

jeunes déplacés a un accès limité à l’éducation (UNHCR)

55 %

des jeunes en mobilité subissent une précarité de statut (OCDE)

+70 %

des programmes Erasmus incluent un volet migration (Commission européenne)

10 pays

africains concentrent 80 % des jeunes migrants (OIM)

60 %

des jeunes migrants africains disent vouloir revenir contribuer au pays (Afrobaromètre)



Pacte mondial sur les migrations
Adopté par l’ONU pour une migration sûre, ordonnée et régulière.
Agenda 2063 de l’Union africaine
Favorise la libre circulation et l’inclusion des jeunes dans la mobilité régionale.
Programme Erasmus+ Mobilité Sud
Bourses pour la mobilité académique entre Europe et Afrique.
Déclaration de Kampala
Protection des personnes déplacées internes (PDI).
Programme Jeunesse & Migration (OIM)
Appuie l’intégration des jeunes migrants dans les pays d’accueil.
Compact Migration & Développement
Outils de coopération pour réduire les vulnérabilités des jeunes en mobilité.
Encadrer sans restreindre : Les jeunes ont besoin de mobilité pour se former, travailler et contribuer.
Écouter les trajectoires : Derrière chaque chiffre, une histoire : valorisons les récits de migration positive.
Réduire les obstacles administratifs : Simplifier les démarches d’échange et de mobilité régionale.
Promouvoir la réintégration : Accompagner les jeunes migrants dans leur retour et leur engagement local.
Inclure la migration dans les curriculums : Pour éduquer sans stigmatiser.
Valoriser les compétences transfrontalières : Reconnaître les acquis de l’expérience migratoire.
Créer des passerelles emploi-mobilité : Faciliter l’insertion des jeunes en mobilité dans le monde du travail.
Soutenir la recherche locale : Produire des données pour mieux agir sur les migrations de jeunesse.

Innovation et créativité des jeunes

1 sur 3

jeunes africains créent ou testent une solution innovante avant 25 ans (AFDB)

45 %

des start-ups tech africaines sont fondées par des jeunes de moins de 30 ans (Partech)

8 %

du financement mondial de l’innovation est dirigé vers l’Afrique (UNCTAD)

60 %

des jeunes souhaitent se former à l’innovation numérique (AU Youth Survey)

70 %

des projets jeunesse labellisés SDG sont à fort contenu innovant (UNDP)

+90

tech hubs actifs dirigés par des jeunes en Afrique de l’Ouest (GSMA)

80 %

des innovations en milieu rural sont issues d’initiatives communautaires (IFAD)

12 %

des bourses de recherche ciblent des projets d’innovation jeunes (World Bank)

25 millions

de jeunes africains engagés dans des hackathons ou concours depuis 2020 (UNICEF Innovation Fund)

+65 %

des innovations soutenues par des incubateurs locaux (AfriLabs)



Innovation frugale – Créer plus avec moins, à partir de ressources locales.
Incubateurs jeunesse – Accompagnement des jeunes innovateurs dans les pays du Sud.
Tech for Good – Initiatives technologiques à impact social.
Innovation sociale – Réponses collectives aux défis des communautés.
Rural innovation – Solutions nées dans des zones peu connectées.
Écoles innovantes – Nouvelles pédagogies portées par les jeunes enseignants.
FabLabs – Espaces de prototypage ouverts aux jeunes.
Projets jeunesse SDG – Alignement des innovations avec les ODD.
Data & IA – Jeunes formés à l’intelligence artificielle éthique.
Partenariats Sud-Sud – Co-innovation entre jeunes d’Afrique et d’Asie.

Événements jeunesse & innovation

  • Africa Innovation Summit
  • YouthHack Africa
  • UNDP YouthConnekt Innovation Forum
  • Global Youth Innovation Awards
  • Smart Africa Youth Congress

Plaidoyer pour l’innovation jeune

Créer des fonds souverains pour les projets jeunes innovants.
Simplifier l’accès aux appels d’offres et subventions.
Renforcer les incubateurs locaux et partenariats universités/startups.
Soutenir l’innovation inclusive, notamment en zones rurales.
Mieux faire connaître les solutions portées par les jeunes dans les médias.
Encourager les filles à rejoindre les parcours STEAM.
Valoriser les innovations traditionnelles et culturelles.
Créer des formations hybrides entrepreneuriat/innovation pour les jeunes en insertion.
Mettre en place un label jeunesse innovation durable.
Intégrer les jeunes dans les politiques nationales de R&D.

Leadership et engagement des jeunes

25 %

des jeunes se sentent exclus des décisions politiques (UN Youth Report)

15 pays

ont adopté des politiques nationales jeunesse inclusives (UNESCO)

35 %

des jeunes engagés dans des mouvements citoyens ont moins de 25 ans

60 %

des volontaires dans les ONG africaines sont des jeunes



Conseil des Jeunes de l’Union africaine

Un organe consultatif promouvant les voix des jeunes dans l’agenda continental.

Youth 2030 (ONU)

La stratégie de l’ONU pour intégrer les jeunes dans les politiques de développement durable.

Parlement jeunesse du Sahel

Une plateforme de plaidoyer pour les droits, la paix et la gouvernance inclusive.

Africa Youth Leadership Forum

Rencontres de jeunes leaders autour de l’entrepreneuriat et de l’impact social.

Jeunes Ambassadeurs du Climat

Initiative formant des jeunes au plaidoyer climatique dans les arènes diplomatiques.

Académies Leadership Jeunes

Formations intensives sur les soft skills, la gestion de projet et la citoyenneté.

Le leadership des jeunes dépasse la simple représentation : il s’incarne dans l’action, la création et l’engagement local. Créer les conditions pour un leadership inclusif, équitable et soutenu par des politiques concrètes est un levier essentiel de transformation durable.
Investir dans les académies de leadership communautaire

Permettre à chaque jeune de construire sa propre voix citoyenne.

Promouvoir des quotas jeunesse dans les assemblées locales

Pour une représentation active et légitime dans les décisions.

Valoriser les projets à impact portés par les jeunes

Offrir une reconnaissance concrète aux initiatives de terrain.

Multiplier les espaces d’expression libre

Favoriser le dialogue intergénérationnel et la co-construction.

Soutenir les plateformes digitales de mobilisation

Renforcer l’influence des jeunes sur les réseaux.

Intégrer l’éducation civique dans tous les cursus

Construire une culture de responsabilité et de droits.

Financer les coalitions de jeunes acteurs du changement

Créer un écosystème propice à la transformation sociale.

Créer des ponts entre institutions et jeunes leaders

Instaurer la confiance et la co-construction dans la durée.

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